Comme on le sait très bien, prévenir c’est guérir. Faire un contrôle de temps en temps pourrait être moins couteux qu’attendre que les problèmes s’accumulent pour en faire un tout complet. Et c’est ce que le Conseil National des Professions de l’Automobile ou le CNPA essaie de faire comprendre aux automobilistes qu’une prévention obligatoire de réparer les voitures de plus de sept ans tous les ans pourrait alléger leurs dépenses.
Comment faire pour les réduire ?
Il est évident que ce serait peut être difficile pour des ménages moins aisés de se permettre de dépenser quelques dizaines d’euros à chaque réparation mais il est encore plus difficile de trouver une bonne somme pour une réparation qui date de trois ans ou quatre ans. Le mieux est alors de laisser de côté un petit budget chaque fin de mois pour prévoir une réparation et un entretien continu de votre véhicule. Ceci pourrait vous faire quelques dizaines d’euros de côté si les problèmes ne sont très graves. Et dans le cas contraire, il vous attendre que les anomalies de votre véhicules s’aggravent pourrait vous faire dépenser jusqu’à une centaine d’euros. Il est bien vrai ce qu’on dit : reculer ne permettrait pas mieux sauter. Au contraire, cela alourdirait encore plus votre fin de mois.
Néanmoins, il y avait la méthode de contrôle déjà appliqué dans l’Hexagone pour les véhicules les plus anciens de le faire tous les deux au lieu de tous les ans. Mais c’est l’Union européenne qui plaide en faveur de contrôles plus fréquent. Selon le CNPA, un controle technique annuel permettra une meilleure fiabilité aux véhicules ainsi qu’une maintenance plus suivie afin de détecter les moindres défauts qui pourrait être réparé rapidement avant de s’aggraver. Force est quand même d’admettre que ce contrôle fréquent a un impact remarquable pour les ménages à faible revenu.