Le placement dans l’immobilier attire de plus en plus les Français. Outre le soif de posséder un patrimoine, il y a d’autres avantages. Grâce au crédit immobilier, il devient plus facile d’acheter des résidences. L’acheteur dispose d’une longue durée pour rembourser tout en profitant de son bien. Un bien immobilier s’acquiert en mètre carré. La négociation est importante. Il en est de même concernant le fait de subir la tendance du marché. A chaque ville et région, les prix divergent. Pour avoir tous les détails, vous êtes invité à visiter le site http://www.ehpadimmo.com.
Les investisseurs deviennent de plus en plus actifs
Pour 2015, le volume des ventes a connu une hausse. Un étonnement pour les notaires sur le territoire, de plus en plus d’acheteurs regagnent le secteur. D’un autre côté, les prix commencent à se stabiliser.
La décision des institutions financières a promu à la manifestation des investisseurs. Avec l’augmentation des taux d’intérêts, le secteur a retrouvé la vivacité. Ainsi, des projets longtemps mis en option sont devenus des prioritaires pour la plupart. Les mois d’avril et mai constituent un départ intéressant pour le marché.
La même année affichent le volume de vente suivant : 176.000 logements dans les catégories des résidences neuves et anciennes. Comparé à 2014, le marché enregistre une hausse de 17%. Les charges et les taxes ne bloquaient las décision en aucun cas, ainsi, les notaires ont assisté à plus de signatures de contrats. En ce qui concerne les grandes habitations, le taux d’accroissement était de 17% avec 48.510 ventes.
Le marché continue à maintenir les prix
Il s’agit d’un facteur capital pour préserver le même volume de vente. En effet, avec cette politique, plus de logements ont été vendu correspond à une hausse de 29%. De la côte vers la capitale, les offres sont de plus en plus intéressantes. Il y a plus d’activités et d’actes de ventes signés. Le pourcentage passe de 22 à 33%.
Si en Janvier, les avant-contrats valaient 8000 euros, ils seront seulement de 8030 euros le mois de mai d’après les estimations. Ainsi, la progression annuelle est de 1,9%. Le taux pour les autres régions et départements subira le même phénomène. Les calculs estiment entre 2 et 3%.